Qui suis-je ?
Je m’appelle Marie, mon aventure est née d’un besoin de retrouver du sens, de la douceur et un rythme plus humain.
Après des études en informatique et quelques années dans une grande entreprise, j’ai compris que quelque chose me manquait. Cette part de création, de lenteur et de sincérité que je ne trouvais plus dans mon quotidien.
Alors j’ai commencé à crocheter.
Avec mes mains, avec du fil, avec patience.
Peu à peu, le crochet est devenu un refuge, une manière de transformer ce besoin de calme en quelque chose de tangible et de beau.
Le crochet m’a toujours accompagnée, mais c’est dans la finesse du micro-crochet que j’ai trouvé ma voie : un savoir-faire délicat, précis et presque méditatif.
Le nom de ma marque, je le dois à mon chat, Yoko. C’est donc un clin d’œil à lui, mais aussi à ce que j’essaie de construire : un univers fait de patience, de douceur et de rêverie.
Un nom qui parle autant d’affection que de création, de ces liens invisibles qu’on tisse sans vraiment s’en rendre compte, entre ce qu’on aime et ce qu’on devient.
C’est une manière douce de garder un peu de lui dans chacune de mes créations.
Chaque bijou que je crée est le reflet d’un petit bout de moi. Il naît souvent dans le calme de mon bureau, entre le bruit feutré du fil qui glisse et le temps suspendu d’un crochet qui se répète.
J’aime ce moment où la matière devient presque vivante, où une simple idée prend forme sous mes doigts.
Je mets dans chaque création beaucoup de patience et d’émotion, avec la volonté qu’elle raconte quelque chose, peut-être pas mon histoire, mais un bout de la vôtre.
J’aime penser que ces bijoux ne sont pas seulement des accessoires, mais de petits passeurs de douceur, des compagnons discrets qui rappellent que la beauté peut se cacher dans les détails, dans ce qui prend du temps.
Rêves de Yoko, c’est un peu ma manière de tisser du lien autrement : avec le cœur, avec le fil, et avec ceux qui prendront le temps de porter mes créations.
Si mes bijoux peuvent vous offrir un instant de calme, un sentiment de délicatesse ou simplement un sourire, alors j’aurai atteint ce que je cherchais.